Dans la brume électrique

de Bertrand Tavernier 4/5 Est-ce un simple hasard si le premier film du cinéaste réalisé depuis la disparition de Philippe Noiret nous parle aussi intensément du poids des âmes disparues ?

Comments

[Julien]

bonjour,

j'écris sur ce blog, où vous venez de laisser ce commentaire :

"Où est le sens critique? Pourquoi proférer une ânerie pareille à la place?"

Je ne suis pas tout à fait sûr de comprendre cette remarque, en fait je re-publie régulièrement des commentaires expliquant que je n'accepte plus les remarques méprisantes gratuites. Il se trouve en plus, si cela peut partiellement répondre à votre commentaire, que j 'ai déjà répondu il y a deux jours à celui-ci :

"Je ne dois pas être le seul à ressentir une déception, voire une frustration à ne plus lire ta prose audacieuse...

Posté par Marc, 29 avril 2009 à 23:08
(pour le cas où ce message n'est pas simple ironie) :
Je n'ai plus envie de communiquer directement mes impressions, je trouve la démarche de plus en plus inappropriée (y compris concernant la majorité de la sphère journalistique), et c'est pour moi une manière différente d'aborder mon rapport personnel face aux oeuvres, je me contente simplement de les noter pour susciter ou non l'envie, l'idée à quelques personnes. Ceci-dit il n'y a aucune raison pour que je reste muet si l'on engage sincèrement la conversation."

Donc, sur le ton où vous avez écrit, je me sens assez ennuyé pour entamer un dialogue sincère et précis sur les raisons qui m'ont fait penser à Phillipe Noiret dans ce film (revoyez Coup de Torchon par exemple), ainsi, je vous suggère de réécrire si vous voulez vraiment discuter avec moi.

Cordialement.

[Elodie]

Où est le sens critique? Pourquoi proférer une ânerie pareille à la place?