20 février 2009
Z 32
d'Avi Mograbi
5/5
Il est si rare d'aller aussi loin dans la portée politique de la déconstruction du processus filmique. Car comme le chante avec le plus intelligent recul le cinéaste lui-même : "il n'y a pas de juge" ; ses mots résonnent simultanément avec l'histoire du soldat repenti ainsi qu'avec toute présomption de maladresse esthétique, et donc politique.
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