15 avril 2008
Le premier venu
de Jacques Doillon
4/5
Au delà de quelques épanchements thématiques sur la déserrance morale légèrement attendus, cet exercice cinématographique alternatif devenu finalement très classique (sorte de Bonnie And Clyde français d'aujourdhui) s'en sort parfaitement, tiré en premier lieu par la puissance expressive d'un Gérald Thomassin en parfait zonard romantique. Mais la réputation du cinéaste est-elle encore à faire dans ce domaine...
Publicité
Publicité
Commentaires
J
R