I'm not there

de Todd Haynes 4/5 Contrairement au récent "Control" sur Ian Curtis, le film est cette fois à la hauteur de son sujet. Ce qui conforte peut-être le plus cet argument est l'évacuation d'emblée et délibérée du dogme pesant de l'objectivité/fidélité par le choix judicieux de faire incarner Bob Dylan par plusieurs acteurs, symbolisant ses multiples personnalités (comme l'explicite une phrase du cinéaste dans le générique). Parmi un foisonnement visuel et sonore très éclectique, je retiendrais prioritairement les scènes en noir et blanc sous influence fellinienne (avec citation) comme les plus convaincantes et réussies.

Comments

[Abraham]

"(comme l'explicite une phrase du cinéaste dans le générique)" , "(avec citation)".

Ne te lance pas dans une quète de crédibilité. C'est inutile tant ton propos est et restera inintéressant.